Difference between revisions of "Modelisation des cycles du soleil"

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(Nouvelle page : L'objectif de cet article est multiple. Tout d'abord, il y a le souhait d'arriver à '''vérifier l'existence (oui ou non) d'une relation entre les planètes et les cycles du soleil'...)
 
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L'objectif de cet article est multiple. Tout d'abord, il y a le souhait d'arriver à '''vérifier l'existence (oui ou non) d'une relation entre les planètes et les cycles du soleil'''. Les effets de marée sont connus, mais il n'existe pas de modèle efficace ce jour) qui fasse calcule une un modèle de l'activité du soleil à partir des mouvement des planètes. Il s'agira donc ici '''de modéliser les cycles du soleil''' en utilisant deux méthodes: d'une part en '''retrouvant les fréquences élémentaires régissant l'activité du soleil''', puis croiser ce signal avec des informations dont nous disposons sur les planètes (bottom-up), d'autre part, '''en s'appuyant sur les paramètres gravitationnels des planètes du système solaire pour un calcul de la position et de la force exercée en fonction du temps sur le soleil ''' (approche top-down). Puis confronter les deux approches.
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L'objectif de cet article est multiple. Tout d'abord, il y a le souhait d'arriver à '''vérifier l'existence (oui ou non) d'une relation entre les planètes et les cycles du soleil'''. Les effets de marée sont connus, mais il n'existe pas de modèle (à ma connaissance) qui propose un calcul des cycles du soleil à partir des mouvement des planètes.  
Enfin, à partir du modèle obtenu, '''observer si nous pouvons nous en servir comme modèle prédictif'''. Par retour, '''observer si au travers de l'activité modélisée du soleil, des influences gravitationnelles manquent à l'appel'''.
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Cet article n'aurait jamais pu être rédigé sans l'utilisation '''d'une "carte de relations fonctionnelles"''' qui reliant les différents éléments entrant en jeu permet de fournir un cadre pragmatique solide et de relier l'ensemble des pièces du puzzle. Je publierai cette carte à la fin du travail qui, également, complètera l'article sur les effets du soleil.
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Il s'agira donc ici '''de modéliser les cycles du soleil''' et je m'appuierai en cela sur deux méthodes: la première consistera à tenter '''de retrouver les fréquences élémentaires régissant l'activité du soleil''', je parle des fréquences génératrices, non pas de l'ensemble des cycles qui peut-être infini. Ces cycles seront recherchés sur deux échelles de grandeurs. Puis, pour ne pas rester dans la "théorie", croiser ce résultat avec les informations dont nous disposons sur les paramètres orbitaux des planètes.
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Indépendamment, et pour là aussi consolider ce résultat, '''s'appuyer sur les paramètres gravitationnels des planètes du système solaire pour un calcul de la position et de la force exercée en fonction du temps sur le soleil ''' (approche top-down).  
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Puis confronter les deux modèles.
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Enfin, à partir du résultat obtenu, '''observer si nous pouvons nous en servir comme modèle prédictif'''. Par retour, '''observer si au travers de l'activité modélisée du soleil, des influences gravitationnelles manquent à l'appel'''.
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Cet article n'aurait jamais pu être rédigé sans l'utilisation '''d'une "carte de relations fonctionnelles"''' qui reliant les différents éléments entrant en jeu fournit un cadre pragmatique solide permettant de rassembler l'ensemble des pièces du puzzle.  
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Je publierai cette carte à la fin du travail qui, également, complètera l'article sur les effets du soleil.
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Un résultat qui peut-être inquiétant émerge de ce travail, je vous laisserai le découvrir.

Version du 11:02, 12 février 2010

L'objectif de cet article est multiple. Tout d'abord, il y a le souhait d'arriver à vérifier l'existence (oui ou non) d'une relation entre les planètes et les cycles du soleil. Les effets de marée sont connus, mais il n'existe pas de modèle (à ma connaissance) qui propose un calcul des cycles du soleil à partir des mouvement des planètes. File:Wolf

Il s'agira donc ici de modéliser les cycles du soleil et je m'appuierai en cela sur deux méthodes: la première consistera à tenter de retrouver les fréquences élémentaires régissant l'activité du soleil, je parle des fréquences génératrices, non pas de l'ensemble des cycles qui peut-être infini. Ces cycles seront recherchés sur deux échelles de grandeurs. Puis, pour ne pas rester dans la "théorie", croiser ce résultat avec les informations dont nous disposons sur les paramètres orbitaux des planètes. Indépendamment, et pour là aussi consolider ce résultat, s'appuyer sur les paramètres gravitationnels des planètes du système solaire pour un calcul de la position et de la force exercée en fonction du temps sur le soleil (approche top-down). Puis confronter les deux modèles.

Enfin, à partir du résultat obtenu, observer si nous pouvons nous en servir comme modèle prédictif. Par retour, observer si au travers de l'activité modélisée du soleil, des influences gravitationnelles manquent à l'appel.

Cet article n'aurait jamais pu être rédigé sans l'utilisation d'une "carte de relations fonctionnelles" qui reliant les différents éléments entrant en jeu fournit un cadre pragmatique solide permettant de rassembler l'ensemble des pièces du puzzle. Je publierai cette carte à la fin du travail qui, également, complètera l'article sur les effets du soleil. Un résultat qui peut-être inquiétant émerge de ce travail, je vous laisserai le découvrir.