Difference between revisions of "SNR G1.9+0.3"

Un article de U-Sphere.
Jump to: navigation, search
(Notes préalables)
(Notes préalables)
Ligne 3: Ligne 3:
 
Cette page est extraite d'un article en anglais posté sur [http://www.viewzone.com/browndwarf.html le site de "ViewZone"]. Elle vulgarise les thèses [http://starviewer.wordpress.com/2009/08/02/analisis-de-g1-90-3-espectros-infrared-microondas-rayos-x-hoja-de-trabajo-n-ii/ d'une équipe d'astronomes qui se fait appeler "StarViewer"] '''(sic!)''' et qui pense avoir mis le doigt sur la sulfureuse "planète X".
 
Cette page est extraite d'un article en anglais posté sur [http://www.viewzone.com/browndwarf.html le site de "ViewZone"]. Elle vulgarise les thèses [http://starviewer.wordpress.com/2009/08/02/analisis-de-g1-90-3-espectros-infrared-microondas-rayos-x-hoja-de-trabajo-n-ii/ d'une équipe d'astronomes qui se fait appeler "StarViewer"] '''(sic!)''' et qui pense avoir mis le doigt sur la sulfureuse "planète X".
  
'''L'idée est originale et c'est pour cela que je la publie "tel que" ici, mais je pense qu'il convient d'être extrêmement prudent ''':
+
La façon dont cette découverte émerge est originale et c'est en ce sens qu'elle ici publiée, je pense néanmoins qu''''il convient d'être extrêmement prudent ''':
  
 
D'une part, l'auteur de ViewZone reprend à son compte les thèses de ce groupe d'astronomes, et présente (quasiment) la découverte comme un fait acquis, alors qu'il manque des informations importantes telles que :
 
D'une part, l'auteur de ViewZone reprend à son compte les thèses de ce groupe d'astronomes, et présente (quasiment) la découverte comme un fait acquis, alors qu'il manque des informations importantes telles que :

Version du 12:50, 21 décembre 2009

Notes préalables

Cette page est extraite d'un article en anglais posté sur le site de "ViewZone". Elle vulgarise les thèses d'une équipe d'astronomes qui se fait appeler "StarViewer" (sic!) et qui pense avoir mis le doigt sur la sulfureuse "planète X".

La façon dont cette découverte émerge est originale et c'est en ce sens qu'elle ici publiée, je pense néanmoins qu'il convient d'être extrêmement prudent :

D'une part, l'auteur de ViewZone reprend à son compte les thèses de ce groupe d'astronomes, et présente (quasiment) la découverte comme un fait acquis, alors qu'il manque des informations importantes telles que :

  • le calcul des paramètres orbitaux et la justification de l'orbite représentée sur le dessin plus bas, (un centre de masse qui parait suspect pour un corps qui aurait une masse de seulement 1,9 MJ !),
  • les perturbations gravitationnelles que subiraient le nuage d'Oort,

De plus l'auteur de ViewZone réalise des écarts:

  • certaines données d'analyse occultées, notamment la reconstitution 3D de l'objet, (dommage, car pourtant fournies par le groupe "StarViewer"),
  • raccroché au débat, la fameuse polémique sur les données d'IRAS alors que ceci apparait comme un non-problème: il a émergé des données préliminaires d'IRAS, très médiatisées, les éléments apportés par la suite n'ayant pas rencontré le même echo (http://web.ipac.caltech.edu/staff/tchester/iras/no_tenth_planet_yet.html)
  • des conclusions qui mettent en perspectives les thèses de Zecharia Sitchin, non recoupées ici et qui m'apparaissent totalement hors contexte par rapport au travail du groupe "StarViewer" !

D'autre part, le site de l'équipe "StarViewer", pour un groupe d'astronomes parait essentiellement dédié à la discussion sur des thèses "conspirationnistes". Par exemple, la révélation du contact par Obama (philosophiquement, je pense que cette idée ne tient pas une seule seconde la route), et d'autres fils d'actualités en vrac !

Et peu de choses au fond sur l'astronomie en général... Mélange des genres, un peu douteux pour des professionnels - je ne prétends pas être astronome sur u-sphere ! -

Ce qui est important à mon sens, et c'est l'objet de l'ensemble des notes portées sur ce site: c'est de véritablement "broyer" et confronter les idées évoquées. J'apprécie les critiques et j'essaye, dès que je peux de les rapporter. De plus, les informations sur U-Sphere sont généralement contextualisées, c'est à dire rentrent dans un cadre "logique" plus vaste. Quoiqu'il en soit, je ne considérerai jamais autrement les idées évoquées sur ce site que comme des hypothèses: j'essaye de n'avoir aucun attachement spécifique (ni revendication) à celles ci. Sinon, comment conserver de son objectivité ?

D'après des astronomes espagnols SNR G1.9+0.3 ne serait non pas une supernova mais une naine brune (!) orbitant au-delà de Pluton

Par Gary Vey pour ViewZone

Image composite de G1.9+0.3 prise par Chandra en rayons X et le VLA en radio

L'idée qu'une nouvelle planète soit en passe d'être découverte dans notre système solaire est plutôt excitante. Et même plus encore, compte tenu des nombreuses théories qui circulent à propos de la "Planète X" ou de "Nibiru", associées à des thèses "extra-terrestres" ainsi qu'aux prophéties apocalyptiques sur 2012 !...

Depuis quelques années et jusqu'alors, les scientifiques de la NASA et ceux d'autres observatoires célèbres ont repoussé les requêtes d'investigations liées à cette thématique, principalement parce qu'ils craignent d'être associés à ces théories « borderline ». Mais qu'on le veuille ou non - c'est arrivé. Tout du moins ... selon une équipe d'astronomes espagnols qui se fait appeler "l'équipe StarViewer".

Le groupe a fait le tour de nombreux site de news au cours des deux dernières semaines, affirmant qu'ils avaient découvert quelque chose de très important. Qui ferait presque deux fois la taille de Jupiter et se situerait juste au-delà de nos plus loin planétoïdes, Pluton. Même si ce n'est pas une planète, elle semble avoir des planètes ou des satellites qui l'encerclent. C'est ce que les astronomes appellent une "naine brune" et son nom officiel est "G1.9+0.3".

Qu'est ce qu'une naine brune?

Nous allons d'abord expliquer ce que ces astronomes ont découvert. Ensuite, nous allons discuter de COMMENT ils l'ont découvert.

Au risque d'être scientifiquement vague, je vais essayer de vous fournir quelques éléments sur la façon dont les étoiles et les planètes se forment dans l'espace.

Dans l'espace, la matière est attirée par la matière. Ce qui se traduit par des nuages de plus en plus denses de matière qui ont tendance à s'agglutiner et à attirer encore plus de matière à eux. Comme la plupart de la matière dans l'espace est sous forme gazeuse, ces nuages deviennent finalement si denses qu'ils s'effondrent dans des sphères de gaz dense. Quand cela survient, il reste généralement un peu matière environnante qui n'a pas été attirée et qui gravite sous la forme d'anneau autour de cette sphère dense.

Bd-accretion.jpg

S'il y a assez de matière contenue dans une sphère, de l'hydrogène par exemple, cela peut provoquer une compression si au forte au cœur de la sphère que les atomes d'hydrogène commencent à fusionner, ce qui enflamme le cœur, et créée une nouvelle étoile. Dans cette réaction, deux atomes d'hydrogène se rassemblent pour former un atome d'hélium plus lourd, réaction qui libère de l'énergie sous forme de rayonnement.

Les scientifiques pensent que la masse minimale de matière nécessaire pour créer une nouvelle étoile (un "soleil") serait d'environ 13 fois la masse de Jupiter - ce qui s'écrit "13 MJ". Si la masse est inférieure à ce nombre, la pression dans le noyau n'est pas suffisante et la sphère restera une boule chaude de gaz appelée communément "naine brune".

Le disque de matériaux qui l'entoure se refroidit progressivement, et restent autour les éléments les plus lourds comme les métaux et minéraux. Ces «pierres» finalement s'agrègent et forment des sphères solides appelé planètes.

Parfois, une sphère solide va attirer une partie du gaz qui se trouve dans le disque et il en résultera une géante gazeuse, comme Jupiter ou Saturne, qui ont un noyau solide, mais une atmosphère gazeuse très importante. Ces planètes géantes peuvent devenir très massives, mais, en raison de leurs noyaux solides, ne seront jamais en mesure de démarrer des réactions de fusion et devenir des étoiles.

Cette Naine brune

La découverte de cette "naine brune" implique qu'elle se soit formée à partir de la même matière condensée qui a donné naissance à notre Soleil. Les planètes importantes formées autour du Soleil l'ont repoussée à la limite du système solaire où elle formerait une sphère de 1.9 MJ - bien en deçà de la masse critique nécessaire pour démarrer les réactions de fusion.

Nemesis

Bd-binary.gif

La théorie d'un compagnon sombre lié au soleil n'est pas nouvelle. Ce compagnon a notamment été appelé Nemesis, d'après la figure mythologique grecque.

La déesse Némesis, dite aussi Adrastée, était chargée de punir les outrages, les violences, l'orgueil, les crimes des mortels, elle prenait les traits d'un personnage cruel. Le nom de Némésis est liée au mot grec qui signifie "partage au sort".

Nemesis est aujourd'hui aussi utilisé pour décrire le pire ennemi d'une personne, normalement quelqu'un ou quelque chose qui est l'exact opposé de soi, mais est aussi en quelque sorte similaire. Par exemple, le professeur Moriarty est souvent décrit comme l'ennemi de Sherlock Holmes.

"En face et pourtant similaires" est la description parfaite pour un compagnon de notre soleil. Mais le nom Nemesis implique également une sinistre nature. Est-ce que ce nouveau Nemesis sera bénéfique ou nuisible à notre vie?

Nombreuses sont les étoiles que nous observons dans la galaxie qui font partie de systèmes binaires, appelées "étoiles doubles". Il existe un débat sur la façon dont deux étoiles se forment à partir d'un nuage condensé de matière. Certains croient que tous deux se forment en même temps, d'autres pensent qu'ils se séparent après la création originelle d'un gigantesque soleil.

Parfois, les deux sphères sont capables d'initier des réactions de fusion et les deux soleils vont briller, parcourant des cercles l'un autour de l'autre, autour d'un point imaginaire appelé le barycentre.

Parfois, un seul des deux corps atteint la masse critique de 13 MJ et s'enflamme, tandis que son compagnon plus petit, la naine brune, rayonne plus faiblement de la chaleur. Les astronomes ont l'habitude de ne voir que la plus brillante des deux, mais les oscillations de la première permettent souvent de révéler la masse d'un compagnon invisible (quand ce n'est pas plus).

Nous sommes proches de notre Soleil et au sein de sa sphère d'influence gravitationnelle. Il apparaît que G1.9 se déplacerait dans une ellipse entre le plus proche de nos planétoïdes, Pluton, et le bord de notre système solaire, à proximité du nuage de Oort.

Bd-lookingdown1.jpg

La naine brune nouvellement découverte serait située entre 60 et 66 UA du soleil, (1 UA = la distance entre le Soleil et la Terre) de nous (à son périgée), actuellement dans la direction de la constellation du Sagittaire.

En raison des perturbations gravitationnelles périodiques d'origine plus plus lointaines, notamment dans le nuage de Oort, le groupe d'astronomes espagnol pense que G1.9 déplace sur une orbite elliptique, dont l'extension atteint des centaines d'UA bien au-delà des planètes connues. Sa position actuelle, juste au-delà de l'orbite de Pluton constituerait son point le plus proche du Soleil et de la Terre.

Si l'espace semble relativement libre de débris [voir l'image ci-dessus] à l'intérieur des orbites planétaires. C'est parce que l'attraction gravitationnelle de chaque planète (une grosse masse) attire efficacement les débris interplanétaires (faible masse). Mais il y a des exceptions.

Des ceintures de débris

Le point noir [en haut à droite] dans l'hémisphère nord de Jupiter représente le point d'impact d'un astéroïde -Wesley- le 19 juillet 2009, 15 ans après Shoemaker-Levy 9 (16-20 juillet 1994)

Entre Mars et Jupiter, il existe un anneau de débris appelé la ceinture d'astéroïdes. On pense qu'il viendrait d'une planète disparue qui orbitait à cet emplacement et qui aurait été pulvérisée par une planète errante qui serait entrée dans notre système solaire - laissant à nouveau planer l'idée qu'il existe un membre inconnu dans notre système planétaire.

Au delà de Pluton, il existe un grand anneau de débris appelé la ceinture de Kuiper. Tandis que la ceinture d'astéroïdes est principalement composée de roches et de métaux, les objets de la ceinture de Kuiper sont majoritairement constitués de composés volatiles gelés : des "glaces" de méthane, d'ammoniac et d'eau.

Comme nous arrivons à la lisière du système solaire, nous entrons dans une autre zone de débris: le nuage d'Oort.

Le nuage d'Oort n'est pas une bande de débris, mais plutôt d'une coquille sphérique qui entoure le système solaire et s'étend jusqu'au bord du champ gravitationnel du Soleil. Cette région est censée contenir des objets constitués d'eau gelée, de méthane, d'éthane, de monoxyde de carbone et de cyanure d'hydrogène. C'est aussi le lieu de naissance des comètes. Toutefois, la découverte de l'objet 1996-PW, un astéroïde sur une orbite plus typique d'une comète de longue période, donne à penser que le nuage d'Oort peut également être le siège d'objets rocheux.

Jupiter et Saturne : du "papier tue mouche" pour astéroïdes

Jupiter et Saturne sont très massives et ont une gravité si forte qu'elles attirent les météorites et autres comètes arrivant à leur niveau. Elles créent une relative protection sur la zone intérieure de notre système solaire des impacts, région contenant les planètes telluriques allant de Mercure à Mars.

En août de l'année 2009, Jupiter a capturé un gros astéroïde qui entrait dans la zone des planètes intérieures de manière inattendue. Malgré les efforts des astronomes pour rechercher et suivre tous les objets dangereux, jusqu'à présent, il n'avait pas été reconnu ni pris en compte. On pense que cet astéroïde a été perturbé par la trajectoire de G1.9.

Comment G1.9 a été découvert

VLA.small.jpg

Vous vous êtes probablement demandé pourquoi les astronomes n'ont jamais détecté cet objet jamais auparavant. En fait, ils l'ont fait!

G1.9 a d'abord été identifiée comme un vestige de "supernova" en 1984 par Dave Green de l'Université de Cambridge, avant d'étudier plus en détail avec le Very Large Array (VLA) plus grand télescope radio en 1985. Parce qu'elle était exceptionnellement faible pour une supernova, on la pensait être jeune - moins de 1000 ans.

Mais en 2007, les observations faites avec l'observatoire Chandra à rayons X de la NASA ont révélé que l'objet était beaucoup plus grand que lors de la dernière observation: il avait cru en taille d'environ 16%.

Intrigué par cette observation, le Very Large Array (VLA) a répété ses observations 23 ans après et vérifié que l'objet avait considérablement augmenté de taille. Sachant qu'une supernova ne se développe pas aussi rapidement, ils a été avancé que G1.9 devait être une "très jeune" supernova, n'ayant peut-être pas plus de 150 ans ! Mais aucune trace de supernova visible n'a été retrouvée et correspondant à cette période historique (à l'époque de la Guerre de Sécession). [NdT: "normal", elle est masquée par les nuages de poussière du centre galactique qui atténuent des millions de fois son éclat]

Les astronomes espagnols ont suivi cet objet avec grand intérêt, car ils anticipaient son apparition.Des anomalies gravitationnelles sont apparues dans le nuage de Oort suggérant que les perturbations avaient été causées par un objet situé à proximité d'une masse considérable. L'annonce que G1.9 avait augmenté de taille n'était pas un mystère pour eux. C'est exactement ce qu'ils attendaient: que l'objet se rapproche de la Terre.

Bd.infraredscan.jpg

L'objet, G1.9 [ci-dessus à droite] est actuellement situé en direction du centre de notre Galaxie, le Sagittaire, qui brille vivement dans cette image prise en infrarouge. En raison du fond lumineux, G1.9 n'est pas visible dans les longueurs d'ondes normales.

Reste de supernova ou bien naine brune ?

Bien sûr il y a des controverses. Les astronomes espagnols doivent encore convaincre la communauté scientifique que G1.9 n'est pas une supernova, mais plutôt une naine brune au cœur de notre système solaire. Ce qui n'est pas une tâche facile!

Bd.vla2.jpg

L'image [ci-dessus] montre que l'objet a augmenté de volume au cours des 23 dernières années d'observation. Sur la gauche, la forme sphérique bleue a été enregistrée en ondes radio en 1985 par le VLA (Very Large Array). L'image de droite montre la même vue prise en 2008. Il est évident que l'objet est plus grand, mais les critiques disent que ce n'est pas parce que l'objet est plus proche, mais bien plutôt que la coquille résiduelle de l'étoile ayant explosée a progressé depuis. Ils notent également que sa forme n'est pas sphérique, mais compatible avec le type de restes associés aux supernovas.

Bd.vla-chandra.jpg

Dans l'image ci-dessus nous voyons une photo originale de 1985 des émissions de radio prise par le VLA par rapport à la photo prise en rayons X en 2007 par l'Observatoire Chandra. Les critiques soulignent à nouveau l'absence d'imagerie centrale (à savoir où est la naine brune?) Et pourquoi les planètes en orbite autour émettent des rayons X de forme irrégulière (?).

Nous avons posé ces questions à l'équipe Starviewer.

L'émission de chaleur dans la région est très forte, et est neutre dans le spectre des rayons X, ceci en raison de la présence de méthane à des températures 2.700 Kelvin

(en attendant leur réponse).

L'image ci-dessus a été fourni par l'équipe de Starviewer. Elle montre G1.9 sur la gauche et une naine brune connue sur la droite, Gliese 229A. Ces photos dans les bandes des hyperfréquences indiquent la chaleur rayonnée par chaque source. Les zones rouge foncé sont les zones les plus chaudes. Nous notons que G1.9 a une émission de chaleur solide semblable à Gliese 229A. L'équipe Starviewer semble suggérer que si G1.9 était vraiment une supernova, on pourrait s'attendre à ce que la surface sphérique soit froide, car le gaz chaud et l'éjecta de explosion de l'étoile aurait été concentrés sur l'enveloppe environnante.

Les scientifiques appuyant la théorie de la "supernova" nous rappellent que la coquille d'une supernova est en fait une sphère, ce qui signifie que la signature thermique nous semblera circulaire. Cette supernova est également soupçonnée d'être très jeune - environ 150 ans - de sorte qu'elle serait encore assez chaude.

Ils nous demandent d'observer la signature thermique d'une autre supernova et nous fournissent un exemple de l'émission infrarouge pour Cygnus-Loop supernova ci-après:

Cygnus-loop.jpg.gif

Les scientifiques nous rappellent également que les observations pour G1.9 ont été faites il y a 23 ans et les observations les plus récentes montrent que l'objet n'a pas progressé de façon sensible comme une planète en orbite ou naine brune serait censé faire. Comment expliquez-vous cela?

Quand nous avons aperçu ce lien à l'équipe Starviewer, nous leur avons demandé de nous envoyer une réfutation.Nous pensons que nous nous sommes concentrés sur le talon d'achille de leurs assertions. Nous avons attendu une réponse et nous avons reçu la déclaration suivante, qui a été traduite pour nous:

   1.-Un peu d'auto-motivation comité international d'astronomes, par leurs propres innitiative, sont actuellement calculer l'orbite exacte pour le Sagittaire naine brune-Oort-Kuiper perturbation, en utilisant des feuilles de travail de la StarViewerTeam basée sur Lissauer, Murray et projets originaux Matese's. Un rapport final sera publié en fév 2010.
   2.-Il existe d'énormes preuves scientifiques concernant le fait que les causes cosmiques et Brown Dwarf sont les véritables causes du changement climatique. Sur le 10 Juillet, le Dr Paul Clark, publié le Science.com un article RELATIF À cette question, et près de 700 scientifiques Ont signé le rapport minoritaire sur le changement climatique.

Il semble que la preuve est inférentielle et basé sur les mathématiques. Nous devons donc attendre jusqu'à Février. Devons nous attendre Donc Jusqu'à Février. Je donne cette cote une durée de validité (de 1 à 10) de 4.

[fin de l'extrait, lire la fin et les "conclusions" de l'auteur de l'article sur ViewZone]

Autres références